Mokka Lo - thérapeute addictologie

                                                                                                                                                                                                                                             *LORIOT Questions – réponses – proposition... «...

  L e fameux craving ! ma réponse (facebook  Kettydls.addicto  Qu’est-ce qui déclenche un craving ? *) MA REPONSE: Je reste convaincue que le craving était là avant notre rencontre avec les produits ou comportements. Cette sensation de mal-être immédiat qui cherche à être calmé par un plaisir aussi immédiat... C'est pour ça que notre lien avec les addictions marchait si "bien". Ce feeling inconfortable qui nous dit qu'on aimerait bien être mieux et tout de suite. Tout le monde doit avoir ça sauf quand ce n'est pas ou PLUS lié à un produit - p.ex quand ce lien-là est vraiment coupé - du coup on ne parle plus de craving!? Ou quand on n'a pas connu ces solutions addictives qui font semblant d'être nos alliées dans des moments bas? Moi j'appelle tout ça des cravings, des moments d'inconfort qui demandent à être gérés par quoique ce soit ...les respecter en tant que tels ces moments-là et les laisser passer - les vivre sans les cacher sous le pouvo...

  La Table à Trois Pieds et le Respect de Soi Une autre de mes histoire qui semble bien plaire c'est la table a trois pieds et le respect de ses limites. Déjà quant au respect: on veut toujours nous faire croire qu'il faut apprendre à "s'aimer"... (je m'aime :) ou au moins à "s'accepter tel qu'on est" ce qui a toujours un arrière goût d'échec, de résignation (je ne suis pas top, mais je m'accepte :)... Si tout simplement je commençais à me respecter? Ainsi que mes limites! Si je respecte mes limites comme un 4e pied d'une table -meuble qui peut facilement se renverser d'un coup de pied-, je pourrais commencer à comparer ces limites  à mon impossibilité de consommer avec "modération" - commencer à prendre en compte mon "gêne de risque" comme l'appelait le grand addictologue Michel Reynaud. Respecter que j'en suis porteur ce qui n'est pas le cas de tout le monde et ce qu'on considère comme le ...

  Les pansements secs sur les blessures des traumatismes. Ancienne infirmière oblige, un jour avec un patient j'ai commencé à comparer les produits à des pansements secs sur une blessure. Puisque je pense en images, je m'en sers souvent depuis puisque ça a l'air de leur parler. Quelles sont les fréquentes manières de gérer ses traumas? La première: j'en fais mon identite, ma colonne vertebrale, je ne suis plus que mes traumas, il faut surtout pas y toucher parce que je n'ai pas appris à fonctionner autrement et ça devient une bombe à retardement. Mais je peux aussi les refouler comme dit quelqu'un qu'on connaît, moi je dirais donc mettre un pansement sec sur cette blessure pour ne plus la voir. Sauf que la plaie en dessous continue à saigner, à puruler, s'infecter, grater et quelle galère pour une infirmière de refaire le pansement deux, voire trois fois par jour parce que le jus transperce et nous disons que le pansement est 'sale'. Mais si je l...

      MOKKA LORBERG PSYCHOPRATICIENNE - THERAPEUTE #AddictionsVersionMaladie à #JeanPierreCouteron #DrWilliamLowenstein #DrLaurentKarila Quelques débuts de réflexions d'une abstinente depuis plus de 34 ans qui a décidé de prendre le chemin vers la sobriété, la vraie... ------------------------- Bon, si je glandais moins et si j'avais l'ADN de médiatisation... je l'aurais déja crit ce papier sur a différence entre ABSTINENCE et SOBRIETE... Tellement ça m'attriste que la notion de ces deux mondes; qui se suivent si on veut, ne semble pas vraiment acquise. L'abstinence est un deuil et un proçés douloureux et laborieux. Mais la sobriété est un objectif, le travail d'une vie de l'abstinent de nettoyer son regard, de se débarasser de tout ce qu'il ne nous appartient pas, la dynamique, la vie, la vraie acceptation de ses limites pour vivre dans un autre univers qui nous épanouit. La porte de sortie d'une drogue fait peur, le gouffre est vide et pr...

  Dans mon approche une dépendance (produit ou comportement) ou une autre manifestation de souffrance ne sont que des symptômes - la pointe de l'iceberg dont je me sers comme porte d'entrée pour une prise en charge globale. Je ne peux pas travailler un symptôme isolément sans aller plus loin dans l'histoire du patient! C'est la base de mon travail! :) Je rencontre des personnes et non des produits ou comportements...    (kindo, iStockphoto) * me sers comme porte d' Dans mon approche une dépendance (produit ou comportement) ou une au entrée pour une prise en charge globale. Je ne peux pas travailler un symptôme isolément sans aller plus loin dans l'histoire du patient! C'est la base de mon travail! :)

    Les addictions = un "problème" à "régler"? Et par qui? Le point de vue et expérience de Mokka - Thérapeute addictologie - Psychopraticienne et (ancienne mais toujours) Infirmière - Trop nombreux sont les collègues psys qui m'adressent "leurs" patients pour ''une addiction'' - donc pour un symptôme qu'ils considèrent comme isolé dans l'accompagnement mais qui les gène dans le suivi du "reste"...donc dont je dois les débarrasser pour qu'il puissent continuer leur thérapie... Comment pourtant serait-il possible de séparer un comportement devenu problématique, une prise de substances psychotropes* de ses racines qui les ont souvent fait naître ?  Ne parlez-vous toutes et tous d'une prise en charge globale? Est-ce que nous voulons être thérpeutes de symptômes ou accompager des personnes pour déblayer ce couvercle résistant qui leur "permet" de ne pas regarder l'origine, la soufrance, ce noeud ...

 https://www.addictaide.fr/lors-dun-controle-routier-on-peut-etre-positif-au-cannabis-en-ayant-consomme-uniquement-du-cbd/  --------------- https://www.addictaide.fr/le-cbd-ne-presente-aucun-risque-de-dependance-mais-il-peut-entrainer-des-effets-indesirables/ Nicolas Authier , psychiatre, pharmacologue, chef du service de pharmacologie médicale du CHU de Clermont-Ferrand et président de la Fondation ANALGESIA.

 JOHN LENNON * photo Mokka "They made us believe that each of us is the half of an orange, and that life only makes sense when you find that other half. They did not tell us that we were born as whole, and that no one in our lives deserves to carry on his back such responsibility of completing what is missing in us: we grow through life by ourselves. If we have good company it's just more pleasant." "Ils nous ont fait croire que chacun de nous est la moitié d'une orange et que la vie n'a de sens que lorsque l'on trouve l'autre moitié. Ils ne nous ont pas dit que nous sommes nés entiers et que personne dans notre vie ne mérite de porter sur son dos une telle responsabilité de compléter ce qui manque en nous : nous grandissons seuls dans la vie si nous sommes en bonne compagnie, c'est tout simplement plus agréable" .

    Le Patriache, le Gourou des Drogués  à voir absolument, nos générations l'ont bien connu ... Une "autre" prise en charge de la toxicomanie! -----------------------   "Il se prenait pour un dieu" : une série documentaire revient sur l’affaire du Patriarche, "le gourou des drogués", née en Haute-Garonne https://l.ladepeche.fr/ILA3 Bravo pour cet énorme travaille recherche et de trouvaille!   https://www.canalplus.com/decouverte/le-patriarche-le-gourou-des-drogues/h/28566937_50034/saisons / Le développement de l'association Le Patriarche Article détaillé : Le Patriarche (association) . En 1970 , Lucien-Joseph Engelmajer s'installe au lieu-dit la Boëre à Saint-Paul-sur-Save , où, avec une douzaine de jeunes toxicomanes sans ressources, il met en place un lieu d'aide qui leur est destiné [ 7 ] . L'association Le Patriarche est fondée le 2 mai 1974 [ 8 ] . Engelmajer en est le président-fondateur, déjà surnommé Le Patriarche [ 9 ] ...

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 *LORIOT   Le triomphe du hashtag # Dryjanuary Christian ANDREO Catherine Delorme Yannick NEUDER Fédération Addiction Association Oppelia @   Le "dry dating", se rencontrer sobrement - La chronique de Ma non Mariani https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/veille-sanitaire/veille-sanitaire-du-lundi-10-fevrier-2025-8328263 Une tendance qui pourrait faire le bonheur des célibataires en 2025. Avec Manon Mariani ,   journaliste La mode est au dry dating… au date sobre. Un nom qui fait évidemment écho au dry january, mais qui concerne la consommation d’alcool pendant les rendez- vous galants. Selon une étude de Bumble, en 2025, 30% des utilisateurs envisagent d’effectuer des dates sobres pour faire des rencontres plus honnêtes et éclairées. Autant vous dire que je suis très contente d’avoir rencontré mon copain avant.  il y a encore quelques années, l’endroit plébiscité par les utilisateurs des appli pour se dater étaient les bars. forcément c’est p...